Aout 2022 : Notre vision de l’auriculomédecine

mardi 9 août 2022
par  Andre
popularité : 17%

Notre vision de l’auriculomédecine.

Ne pas condamner sans essayer, ne pas croire sans expérimenter. Tel a toujours été la conception qui nous a conduit à développer notre technique d’auriculomédecine. Les faits auront toujours raison contre le raisonnement qui s’appuie sur des vérités déjà connues.

L’auriculomédecine nous permet d’interroger l’organisme en permanence à condition de poser les bonnes questions.

« Ce que nous observons n’est pas la nature elle-même, mais la nature soumise à notre méthode de questionnement. » Heisenberg

C’est particulièrement vrai pour l’auriculomédecine. Le VAS donne une réponse binaire, mais l’informatique fonctionne aussi sur un langage binaire. Le nombre de combinaison possible est infini.
Plus nos tests sont définis et précis, plus la réponse le sera.

Nos tests sont toujours la résultante de différents facteurs et nous obtenons donc une réponse globale de différentes combinaisons. La difficulté est donc d’interpréter le résultat.

Pendant des années nous avons cherché à démonter ces combinaisons pour comprendre le fonctionnement de nos mesures. Grâce à ces recherches, nous sommes parvenus aujourd’hui à des mesures plus simples permettant une pratique plus fiable et plus rapide.

Contrairement à ce qui est généralement admis, nous pensons aujourd’hui que le VAS est une réaction qui ne survient que lorsqu’il y a un déséquilibre neurovégétatif témoin d’un désordre interne de l’organisme. Autrement dit « pas de déséquilibre = pas de VAS » ce qui est une condition exceptionnelle obtenue provisoirement si on a pu traiter l’ensemble des blocages. Mais l’organisme est en perpétuelle adaptation par rapport à son environnement pour maintenir sa structure comme le dirait H. Laborit : « Nous ne vivons que pour maintenir notre structure biologique »

Cet état d’équilibre n’est donc que provisoire. Le VAS réagit dès qu’un petit déséquilibre se produit. Encore faut-il avoir le bon test qui interfère avec les champs péridermiques de l’organisme. C’est cette interférence qui déclenche le VAS : Ondes, fréquences, champs, vecteurs, matière et énergie toute la physique actuelle est basée sur ces concepts. Nous n’y échappons pas, d’où notre conception de mesures tridimensionnelles, voir quadridimensionnelles si on y ajoute les variations temporelles dont nous avons signalé l’importance mais qui reste cependant à explorer.

Thermomètre, stéthoscope, électrocardiogramme, électroencéphalogramme, thermographie, IRM fonctionnelles sont tous des techniques basées sur des concepts physiques. Les interférences provoquant le VAS sont de même nature physique. Tout est question d’interprétation et cela demande de nombreuses études par de nombreux praticiens.

Mais peut-on se fier au V.A.S. ? Quoiqu’en dise de nombreux praticiens qui n’ont pas eu la patience de l’apprendre correctement, la réponse est oui. Mais les conditions de mesures sont très strictes et pendant longtemps on n’a pas su comment mesurer et maîtriser les oscillations source d’inconstances, d’incertitudes et de fausses interprétations.

Notre but est d’obtenir des informations fiables pour mieux soigner nos patients et si possible comprendre la cause de ses déséquilibres pathologiques. Les points de l’oreilles sont multiples et la notion de blocage nous permet de mieux les comprendre. Un blocage c’est un point causal et ses conséquences secondaires que sont les déséquilibres fonctionnels secondaires, les mécanismes d’adaptations et les mécanismes d’informations du cerveau. Toutes ces conséquences secondaires sont susceptibles de créer des points à l’oreille et des zones d’oscillations sur lesquelles les mesures seront instables.

Les points causals dit primaires sont les points sources des déséquilibres et ceux dont le traitement donne les résultats les plus durables. Mais la poncture ne suffit pas et il faut être capable d’analyser le point et de déterminer la cause du déséquilibre pour chercher les moyens d’y remédier. Pour cela l’auriculomédecine peut donner aux plus expérimentés un certain nombre de réponses : Intolérance alimentaire, allergies, champs perturbateurs, inflammation, traumatisme physique ou psychique etc.

Si l’on sait interroger l’organisme on obtiendra une réponse par oui (réaction du VAS) ou par non (pas de réaction). Mais devant les nombreuses réponses il faudra savoir faire le tri et cela nécessitera encore de nombreuses études. Chaque blocage secondaire pourra donner sa propre réponse d’où l’importance de pouvoir isoler les blocages primaires. On peut le faire plus simplement avec les tests de polarisation circulaire et je remercie Daniel Courty de m’avoir mis sur cette piste.

La polarisation linéaire ou circulaire est un élément essentiel de nos mesures. En effet comment serait-il possible de percevoir et de décomposer les éléments une information multidirectionnelle. Si nous sommes capables de distinguer des mesures électrique ou magnétiques et leurs pôles c’est parce-que nous interférons avec un plan de polarisation.

Tout au long de nos articles, nous reviendrons sur ces notions.


Commentaires

Navigation

Articles de la rubrique

  • Aout 2022 : Notre vision de l’auriculomédecine